Camille SAINT-SAËNS (1835-1921). 14 L.A.S... - Lot 244 - Ader

Lot 244
Aller au lot
Estimation :
1000 - 1500 EUR
Camille SAINT-SAËNS (1835-1921). 14 L.A.S... - Lot 244 - Ader
Camille SAINT-SAËNS (1835-1921). 14 L.A.S et un poème autographe, 1887-1917, [à son ami le musicien Paul Dugas, ou son fils le peintre Paul Steck] ; 23 pages formats divers (légers défauts à qqs lettres) Correspondance amicale. 19 février 1887. Résultats décevants d’une démarche : « Vous voyez par le ton de la lettre qu’il n’y a pas de mauvaise volonté. Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen de faire réformer Paul ? »… Enghien 26 septembre 1887. « Pendant que je vous scie le dos j’ajouterai que vous comblerez mes vœux si vous pouvez engager comme cantatrice Mme Masson femme de mon excellent ami Ernest Masson de la Société des Concerts. Vous savez que Gounod l’a prise pour chanter Mors et Vita »… Paris 14 juin 1890. « En faisant la revue générale de mes paperasses avant de m’installer à St Germain je trouve le billet d’invitation et je vois avec désespoir que la cérémonie est passée. Cela me désole »… Hôtel Bedford, Paris 9 juin 1892. « Hélas, mon cher ami, on ne peut pas me trouver. J’ai mille choses à faire et ne suis jamais chez vous. N’empêche que je vous aime toujours »… Londres 20 juin 1902. « Oui, je suis fâché : 1° d’avoir eu une bronchite qui m’a tenu plusieurs jours enfermé […]. 2° d’avoir été forcé de venir à Londres, ce qui me gêne pour aller voir l’Exposition. Je crois bien que notre visite est f….. »… 20 septembre 1906 : « J’apprends par mon ami Sizes que vous jouez souvent mes œuvres et que vous les jouez fort bien »… 1er novembre 1908. Appelé auprès d’un cousin dont l’enfant était à toute extrémité, « j’ai été “horrificquement matagrabolisé” en rentrant à 9 heures du soir définitivement, quand j’ai constaté que tu t’étais, comme on dit, cassé le nez ; je t’avais inscrit, cela ne serait pas arrivé sans cette catastrophe »… Cannes 3 novembre 1908. « Oui, mais vendredi je ne suis pas libre ; samedi non plus ; et lundi il est probable que j’irai chez les Diémer »… 13 février 1917. Malgré des précautions, « l’obligation d’aller tous les jours à l’Odéon par l
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue