Georges AURIC (1899-1983). Manuscrit musical,... - Lot 392 - Ader

Lot 392
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Georges AURIC (1899-1983). Manuscrit musical,... - Lot 392 - Ader
Georges AURIC (1899-1983). Manuscrit musical, La Pastorale, ballet (1926) ; 395 pages in-fol., en un fort volume broché dos toile noire. Manuscrit de copiste de la partition d’orchestre de la musique de ce ballet composé pour les Ballets Russes. C’est pour les Ballets Russes de Serge de Diaghilev que Georges Auric écrivit la musique de La Pastorale, sur un argument de Boris Kochno. L’œuvre fut créée au Théâtre Sarah Bernhardt le 29 mai 1926, l’orchestre étant placé sous la direction de Roger Désormière. La chorégraphie était réglée par Georges Balanchine, dans un décor et des costumes de Pedro Pruna, avec Félia Doubrovska (l’Étoile), Serge Lifar (le Télégraphiste), Thamar Gevergeva (la Demoiselle), Léon Woïdzikovsky (le Régisseur). « Un jeune télégraphiste arrive à bicyclette par un temps chaud au bord d’une rivière. Pour être bien nature, il s’empresse de se débarrasser de sa sacoche aux dépêches et se plonge dans l’onde que figurent le plancher de la scène et un petit bout de parapet. Survient La Demoiselle, suivie d’autres Demoiselles ; elle s’empare de la sacoche. Tout le monde danse un petit pas et s’en va. Le jeune Télégraphiste sort de l’eau et, s’étendant sur le plancher, mais, cette fois-ci, devant le petit parapet, s’endort et devient évidemment invisible puisqu’une troupe de cinéma faisant irruption pour tourner un film peut, sans soupçonner sa présence, manœuvrer, construire un décor et se livrer à des exercices variés. Paraît l’Étoile de la troupe et deux acteurs. Pas de ladite Étoile. Sur ce, le Télégraphiste s’éveillant, aperçoit l’Étoile. Pas de deux. Puis, irruption des villageois auxquels étaient destinés le contenu de la sacoche dérobée par la Demoiselle de tout à l’heure et qui rapporte l’objet de son larcin. Danse générale et départ définitif et à bicyclette du Télégraphiste » (André Messager, Le Figaro, 1er juin 1926). Le manuscrit est très soigneusement établi à l’encre noire sur papier à 32 lignes ; portant le cachet encre de l’éd
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