Marie de RÉGNIER, dite Gérard d’Houville... - Lot 217 - Ader

Lot 217
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Estimation :
400 - 500 EUR
Marie de RÉGNIER, dite Gérard d’Houville... - Lot 217 - Ader
Marie de RÉGNIER, dite Gérard d’Houville (1875-1963). 4 manuscrits autographes signés, [1933] ; 23 pages in-fol avec quelques ratures et corrections. Chroniques pour Le Figaro. Cris d’hirondelles, hommage à l’augure ailé du printemps, évoquant un souvenir d’enfance, faisant référence à un incident qui bouleversa le jeune Gabriele d’Annunzio, citant des strophes de Théophile Gautier, et terminant par une invocation aux hirondelles elles-mêmes : « hirondelles, tournez, criez, transpercez les longs nuages roses et les pluies irisées ou la certitude illusoire d’un jour lumineux », etc. (coupure jointe du Figaro, 15 mai 1933). Chronique des théâtres de Paris, sur des nouveautés (début mai 1933) : La Maison des confidences d’Henri Duvernois (Grand Guignol), Le Locataire du troisième sur la cour de Jérôme K. Jérôme (Théâtre des Arts), Yvette et les enfants de Madeleine Jacques de Zogheb (Studio des Champs-Élysées) et Ma sœur de luxe d’André Birabeau (Théâtre de Paris). Chronique des théâtres de Paris, consacrée aux danses « de la plus étrange beauté » de Djemil Anik, présentées au Théâtre de l’Atelier, et à une soirée de comédies au Studio 27, de Birabeau, Duvernois, et plus particulièrement la baronne de Brimont, dont Province, pièce inédite, est jugée « du talent le plus fin et fort ironiquement douloureux »… À propos d’organdi, à l’occasion de l’exposition Le Décor de la vie sous la IIIe République au Musée des Arts décoratifs (avril 1933) : « La mode est une sorte de diablerie, une illusion, qui fait trouver charmantes, pour un moment très bref, certaines formes, certaines couleurs certaines coiffures, et horribles les mêmes affiquets dès qu’ils sont relégués en de vieilles armoires »…
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