art d'après-guerre et contemporain

Passés les tableaux ayant fait partie de la collection du critique Gaston Diehl (voir Gazette n° 22, page 12), on poursuit avec les œuvres des grands noms de la peinture de l'après-guerre ou contemporaine. Une Composition de Maurice Estève de 1962 est annoncée à 20 000/30 000 €, une huile sur bois de Michel Macréau de 1970, Allo… j'écoute entre 30 000 et 50 000 €. De M'hamed Issiakhem, une Maternité des années 1975-1980 pourrait recueillir 25 000/30 000 €, du Japonais Tiger Tateishi, une toile de 1972, A Disapearing Town nécessitera 20 000/30 000 €, 120 000/150 000 € étant toutefois à prévoir d'un grand acrylique et collage sur toile de Robert Combas de 1988, Têtes de couples en marotte de sainteté portées par des corps sans tête.