VILLARS (Nicolas de Montfaucon de)]. Le Comte... - Lot 96 - Ader

Lot 96
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VILLARS (Nicolas de Montfaucon de)]. Le Comte... - Lot 96 - Ader
VILLARS (Nicolas de Montfaucon de)]. Le Comte de Gabalis, ou entretiens sur les sciences secretes. Renouvellé & augmenté d’une Lettre sur ce sujet. [Suivi de] : La Suite du Comte de Gabalis, ou nouveaux entretiens sur les sciences secrètes, touchant La Nouvelle Philosophie. Ouvrage posthume. Amsterdam : Pierre de Coup, 1715. [Relié à la suite] : [ANDROL (Antoine)]. Les Genies assistans, et gnomes irreconciliables ; ou suite au Comte de Gabalis. La Haye, 1718. — 3 ouvrages en un volume in- 12, 155 pp. ; (1 f.), 152 pp. ; (1 f.), 176 pp. Maroquin rouge, roulette aux pointillés à froid en bordure des plats, fleuron doré aux angles et armes dorées au centre, dos à nerfs orné, roulette dorée intérieure, doublures et gardes de papier doré, tranches dorées (reliure de l’époque). Nouvelle édition du Comte de Gabalis, œuvre la plus célèbre de Nicolas de Montfaucon de Villars (1635-1673), publiée pour la première fois en 1670. Sur le ton de la plaisanterie, l’auteur propose une satire du mysticisme en général et dévoile les mystères de la cabale et de la Société des Rose-Croix. Il y tourne également en ridicule la philosophie de Descartes. À la suite figure l’ouvrage apocryphe intitulé La Suite du Comte de Gabalis, contenant 7 entretiens, qui parut pour la première fois en 1708. Il est joint comme souvent le livre attribué au père célestin Antoine Androl intitulé Les Genies assistans, et gnomes irreconciliables, formant une suite au Comte de Gabalis. PRÉCIEUX EXEMPLAIRE EN MAROQUIN DE L’ÉPOQUE, AUX ARMES D’AGNÈS BERTHELOT DE PLÉNEUF, MARQUISE DE PRIE (1698-1727). Maîtresse du duc de Bourbon, elle fut celle qui permit d’obtenir le mariage du jeune roi avec Marie Leczinska, et fut pendant un temps la femme la plus puissante de la cour. Immortalisée par Jean Baptiste Van Loo, on l’appelait la “maîtresse absolue du royaume” et Voltaire lui consacra une pièce intitulée La Fête à Bélesbat en hommage à sa beauté. Elle se suicida en 1727, à l’âge de 29 an
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